Un atelier improvisé
Nous sommes le lendemain de notre première soirée.
Nous avons terminé de ranger et de nettoyer. La maison est à nouveau en ordre sauf…. qu’il nous reste des plats entiers de crudités ! Jeter les restes ? Inconcevable. Cela ne fait pas partie de nos valeurs. Nous nous voyons déjà manger du chou et des carottes pendant des semaines.
Dans les débats pour savoir ce que nous allons faire de tout ça, quelqu’un lance « il faudrait faire de la lacto-fermentation ». Une autre personne rebondit « j’ai des bocaux chez moi et je connais quelqu’un qui en fait ». Coup de chance, Olivier est disponible. Ni une ni deux, le rendez-vous est pris et un atelier de lacto-fermentation est improvisé sur le champ.
Et voilà comment on mêle l’utile à l’agréable !